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Les Îles Khazar : la folie des grandeurs en Azerbaïdjan

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Deuxième épisode de notre série sur les grands projets inutiles et imposés. Retour sur un chantier inutile imaginé par un milliardaire Azeri : les îles artificielles de Khazar. En 2010, Ibrahim Ibrahimov imagine une ville nouvelle construite sur la mer Caspienne. Lancés en 2011, les travaux sont abandonnés du jour au lendemain en 2015. Explication de ce gâchis avec Nicolas Crosnier, ex-doctorant spécialiste du pays.

Les Wetlands de Kolkata : une zone à remplir pour les aménageurs

Premier article de notre série sur les Grands Projets Inutiles (GPI).

Rendue célèbre en France par des mouvements comme la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, l'appellation a été officiellement définie dans la charte de Tunis lors du Forum Social Mondial de 2013. Elle renvoie à la construction

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d'infrastructures de grande envergure contestées pour leur destruction de terres agricoles, leur déni de démocratie, leurs conflits d'intérêts avec le secteur privé et leur impact désastreux sur l'environnement. A la bétonisation, à la marchandisation et à l'opacité de projets démesurés, des personnes répondent par de nouvelles formes d'actions locales et collectives. Découverte de ces lieux, ces projets, ces personnes au gré de notre retour à vélo.

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Le 12 décembre, le Parlement indien, contrôlé par le parti nationaliste BJP, a voté une réforme de la loi sur la citoyenneté de 1955, qui introduit pour la première fois des critères religieux dans l'obtention de la nationalité. Les musulmans, bête noire du parti au pouvoir, sont visés. Depuis, les manifestations se succèdent dans le pays, dénonçant la gravité d'une loi jugée discriminatoire et anticonstitutionnelle. Le sécularisme garantissant un relatif équilibre dans ce pays aux multiples communautés religieuses est menacé.

Deux semaines de mobilisation contre le bidouillage de la citoyenneté indienne par les nationalistes hindous

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Un quartier de la ville est renommé pour la qualité de ses sculptures : Kumartuli, le quartier des potiers. A la veille du Durga Puja, la plus grande fête populaire hindoue du Bengale, la frénésie s’en empare. On a décidé de comprendre ce qu’il s’y passe.

Le quartier des potiers de Calcutta délaisse la sculpture traditionnelle

représentation du démon Asura
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